dimanche, octobre 01, 2006

I'm so desperate...

Le temps passe, passe, passe et beacoup de choses ont changé qui aurait pu s'imaginer... que je prendrais pas soin de mon blog. Let's rewind, au tout début de l'histoire, l'histoire d'un envol et lorsque j'atteris, je fus acceuilli par deux américains à fort accent indien pas facile à comprendre, en même temps premier contact avec un petit francillon (pas si si petit que ça mais quand même) qui répond au nom de Julien. Pourquoi vous parler de lui? Tout simplement parce qu'il a eu la bonne idée de faire des études d'hôtellerie avant de se lancer dans des études de management, et que dans un pays comme celui-ci un savoir-faire pareil ça vaut de l'or. Au menu : émincé de courgette au parmesan, tomates-huile d'olive-citron, home-made guacamol, sorte de coquille Saint-Jacques à la crème sur leur bout de charcuterie italienne, champigon sauté à la crème et en dessert ananas au caramel maison servi tiède sur sa boule de glace vanille. Que du bonheur...
C'était tellement bon que sa mérite une photo de l'artiste :


Ne vous y fiez pas, il n'aime pas les photos...
A tel point que le bic qu'il tient dans sa main n'est pas passé loin de moi
En invisible les mexicaines qui se prennent un délire dans les toilettes...
(C'est dangereux la vie de blogueur quand même)

Ca c'était pour les plaisirs culinaires.
Pour le plaisir des yeux maintenant, j'ai testé pour vous : "Desperate Housewives". Evidemment tout le monde connait, au moins de nom, cette série américaine qui fait un tabac de mon coté de l'atlantique (qui pour les plus distraits d'entre vous, n'est pas le même que le vôtre, sauf si vous habitez du même coté que moi, fin bref je m'égare...). Dimanche dernier donc, nous nous sommes retrouvés à dix dans l'appartement de Luisa, la Colombienne du groupe, pour visionner le premier "Desperate Housewives" de ma vie. Mon verdict est le suivant, série sympa mais les pubs de 5 minutes toutes les 5 minutes ont le don de m'énerver même si elle présente l'avantage de vous laisser le temps de déguster la pizza américaine fraichement commandée. Un nouveau rendez-vous fut donc pris ce dimanche-ci chez Julien (décidément j'aurais beaucoup parler de lui aujoud'hui) pour le deuxième épisode, impatience quand tu nous tiens. Ce fut très sympa évidemment on n'a pas fait que regarder le feuilleton, extraits visuels :

Séverine et Luisa captivée par je sais plus qui...

Alexis n'en ratant jamais une décide de poser entre moi et ma prochaine photo,
le regard sensuel est habituel je pourrais vous montrer 10 000 photos
de lui tout plus drôle les unes que les autres

Le même qu'au début, remarquez qu'il n'a pas osé me lancer
son pc pour avoir pris la photo...nice


Luisa et sa pommade qui sent bon, Séverine et Vincent

J'aurais bien voulu vous montrer les films qui montrent
comment "Cobaye 2" s'est retrouvé dans cet état.
J'ai évidemment un autre film pour "Cobaye 1" (alias Vincent)

Alexis, Séverine et "Cobaye 1" après qu'il se soit lavé le visage
Je tacherais de vous parler d'autres de mes aventures dès demain.

"Qui va piano va sano, e qui va sano va lontano" - Un italien probablement

2 commentaires:

Anonyme a dit…

et pizza américaine = pizza dégueu je suppose... Merci Frixou de faire bouger les blogs familiaux car c'était un peu mort ces derniers temps...

Fix a dit…

oui je sais j'ai tendance à écrire beaucoup moins souvent...C'est parce que je m'amuse d'autant plus.