mardi, novembre 28, 2006

Failure is not an option....

Me revoilà! Je suis de retour de Houston! En fait, cela fait déjà deux jours que je suis revenu mais le temps étant le temps et mon agenda étant plus que bien rempli, je ne pouvais venir vous conter mes aventures dans cette ville de six millions d'habitants. Serait-ce sept millions? Je ne sais plus après tout lorsqu'on est si nombreux, on ne verrait presque pas la différence si on en supprimait un million.

C'était le troisième voyage que j'effectuais depuis mon arrivée ici et le dernier avant de quitter définitivement Stillwater (quoique...le dernier officiel dirons-nous). Evidemment, cela ne veut pas dire que je ne voyagerais plus puisque je pars normalement le 16 décembre pour Cancun au Mexique, 25°C (Vamos a la playa ohohohoh!) avant de rejoindre mon rêve américain : New-York. S'il y a parmi vous des gens intéressé pour me rejoindre à New-York qu'ils se manifestent, l'inscription est au modique prix d'une bouteille de champagne millésimé pour le nouvel an. Si elle n'est pas millésimé vous êtes autorisé à stationner seulement la moitié du séjour. Si vous voulez apporter du mousseux envoyer le par poste et ne vous déplacer même pas, ça suffira. Si vous pensiez à du champomy, étouffez vous avec! Bien sûr pour ce prix là je fais le traducteur pour tout les restaurants que vous m'offrirez (hummm...). Bref...laissons ce genre de délire aux crazy canadians!!

Houston , donc, est une ville que je n'ai pas beaucoup vue en fin de compte. Pour la rejoindre, il faut parcourir 506 miles à bord d'une voiture louée avec toit ouvrant, intérieur cuir noir, air conditionné, lecteur cd (6 cd...) . Il faut aussi supporter Nicoo pendant 8 heures, la techno d'Alex pendant trois heures et ne pas s'endormir sur les lignes droites. Il faut aussi apprendre à ne pas appuyer sur l'embrayage inexistant, à utiliser le Cruise Control et comprendre comment fonctionne la radio. Mais pendant 5 jours j'étais le propriétaire d'une pontiac qui affichait (au début) 1000 miles au compteur, le rêve. La voiture avait toujours une odeur de neuf. Evidemment j'ai oublié de prendre des photos de la voiture, trop con le mec....

Ce billet est bien mal parti car moi, contrairement à vous, je sais exactement tout ce qu'il faut que je raconte encore. Ca va encore faire des gens qui vont pas me lire jusqu'au bout. Tant qu'on y est je passe trois petits messsages privés :
"Toi, oui toi, qui se trouve à Rome en ce moment et qui est déjà venu lire quelque fois ce blog, j'aimerais savoir qui tu es..."
"Les sanglots longs des violons de l'automne, ..."
"...berce mon coeur d'une langueur montone, je répète, berce mon coeur d'une langueur monotone..."
Voilà ca c'était pour le messages privés. Et tant qu'à faire un billet qui ressemble à rien tellement c'est décousu, je voudrais vous annoncer que j'ai perdu six giga de photos. Ces photos se trouvaient en dépot sur l'ordinateur d'un français ici à Stillwater, et j'ai appris en revenant de Houston que son pc avait clamsé. J'aurais du aller les graver avant de partir à Houston, j'aurais dû aller les graver, j'aurais dû...

Reprenons en accéléré, premier jour : Voiture (beacoup)+ billard + dodo. Deuxième jour, Dodo + Thanksgiving dinner + moultes billards + cinéma + bar pour fêter l'annif de nico . Troisième jour, Nasa + billard +pub irlandais (ben quoi...l'amérique c'est plein d'irlandais d'abord!)+ dodo. Pause et commentaire: si un jour vous êtes de passage à Houston et que vous n'êtes pas l'heureux(se) papa(maman) de petits bambins tout mignons, ne passez pas par le Nasa Space Center, c'est naze! Le pub irlandais par contre ca vaut le coup sans être exceptionnel. Reprise : Quatrième jour : dodo + billard + shopping (aie!)+ billard + resto texan(mmm) + night club(youhou!) . Cinquième jour, voiture + voiture+ voiture + voiture (10 h au total).

Comme c'est beaucoup trop rapide, j'explique certaines choses. Le cinéma tout d'abord, nous somme allés voir "Borat", je l'ai aimé à l'opposé du James Bond. Le repas de thanksgiving ensuite était très sympa, plein de choses à manger, bonne ambiance enfin bref, comme on dit entre étudiant, on s'est fait pêter la panse. Le shopping ensuite, nous nous trouvions dans le "Galleria" de Houston, un truc immense, tellement immense que je n'ai fait que le troisième étage. Et encore, je pensais un moment arriver vers le bout de ce troisième étage que je m'apercois que j'aboutis sur un croisement qui était en fait au milieu du Galleria avec devant moi, à gauche et à droite, des allées aussi grande que celle que j'avais derrière moi. Sans rire, je crois qu'il pouvait y avoir entre 300 et 400 magasins la dedans (c'était pas petit du tout....) même si je dois avouer que je n'ai aucune idée du nombre qui s'y trouvait. La dernière note concerne le night club, pour le trouver nous nous sommes rendus dans le Downtown, c'était alors la première fois que je mettais le pied dans la ville de Houston proprement dit (et la dernière aussi), ambiance assez sympa mais nous n'avons pas trouver un night club qui nous convienne.
Place maintenant à quelques photos...

Alex faisant joujou avec un microscope,
il fait ingénieur en chimie alors forcément...

Quentin, J-M, Alex lisant dans une position pittoresque...
Salle de controle pour le lancement des navettes...Reproduction de la shuttle américaine
pour l'entrainement des astronautes
Plan de trajectoire dans l'espace, la position de l'ISS
était représentée en temps réel (super...)
Ejecteur de fusée (le truc d'ou sortent les flammes)
Arbre dans le downtown
Downtown de Houston de nuitLe groupe au complet chez nos hotes,
moi, Quentin, le papa de Mary, Nico, Alex, J-M(Ger), Mary et sa maman

"To thine own self be true" - Hamlet
(je paie le resto à celui qui comprend cette phrase sans chercher de l'aide dans un dico ou auprès de quelqu'un...et même si vous me dites que vous l'avez fait, je ne vous croierais pas...)

lundi, novembre 20, 2006

Casino Royale...

Aucune traduction de ce titre en anglais est nécessaire et la plupart d'entre vous ont déjà compris le sujet de ce billet. La brosse (à dent s'entend) en bouche je m'en vais vous faire l'éloge de ce Bond pas comme les autres. Et peut être même ai-je la primeur avant le Soir et La Libre Belgique. Oreillette dans une oreille, porte-mine sur l'autre me voilà rédacteur en chef du journal "On the green side" disponible occasionnellement quand son rédacteur en chef en a le temps.

Nous parlions donc de James, celui que vous connaissez tous et que vous allez tous redécouvrir. Un scénario loin de la bombe à désamorcer, loin de la menace qui va entrainer la planète dans un bain de sang et loin de l'espace aussi. Mais qu'est-il arrivé à notre agent double zéro...Je n'en sais rien mais j'ai apprécié. J'ai apprecié tout d'abord la manière dont l'acteur principal, dont je n'ai pas encore retenu le nom, joue son personnage moins froid, moins rigide, plus brutal certes mais d'autant plus gentleman (est-ce possible?), j'ai admiré la simplicité de la technologie aussi avec un film qui commence avec une course poursuite à pied et l'absence, plus que bienfaisante, de voiture invisibles, j'ai été captivé enfin par les nombreuses scènes d'action du film à la "bourne identity" ("la mémoire dans la peau"). Si vous en aviez marre des stéréotypes à la James Bond? Allez voir ce film! Vous adoriez James Bond tel qu'il était? Vous apprendrez vite à aimez ce qu'il est devenu...

Dans un tout autre registre, Michelle et Katie ont, à l'encontre du règlement, acheter deux souriceaux qu'elle détiennent désormais au secret. Elle m'ont annoncé que j'étais le tonton de l'un deux, Princess. Encore que je crois que tout le monde à l'étage en est tonton. Pauvre bête je sais pas trop ce qu'elles vont devenir une fois que les filles en auront un peu marre...

"-I like you scarf"
"-Thanks"
"-It makes pimp"
"-what's pimp?"
"-Like a gangster"
Katie to me, 20 min ago
(Après vérif dans l'Harraps pimp veut dire "souteneur"...Vais-je encore oser porter l'écharpe??)

(Je crois que je me suis assez brosser les dents...)

vendredi, novembre 17, 2006

A look upon my university...

Je vous avais promis des photos de mon université, enfin de l'oasis mais dans ma tête c'est la même chose.
Avant tout chose, je vais vous fournir des nouvelles fraiches de Stillwater. J'ai perdu hier au squash contre Quentin, cela faisait approximativement 7 ou 8 matchs que j'étais imbattu par la clique d'exchange, en quelque sorte j'étais le Federer du patelin mais ma domination, contrairement à Federer, n'a été que de très courte durée.
Je ne me suis toujours pas acheté un sweat, ni un t-shirt de l'université. Ca fait très bizarre et faudrait que je me dépêche car mes jours dans cette contrée sont désormais comptés.
Enfin, je pars à Houston pour Thanksgiving puis la semaine d'après devrait être assez cool aussi, je vous dirais pourquoi plus tard.

Passons au tant attendues photos de mon campus, très stylé comme tout les campus aux states.

La vue la plus commune d'un campus américain,
au fond la bibliothèque
Des gens qui se la coulent douce
Le Student Union, véritable centre névralgique de l'unif,
avec tout l'admnistration, des magasins de toutes sortes,
des salles de réceptions...
Amoureux à la Theta Pond, le lac derrière moi lorsque je prend la 1ere photo
Again...La rue dans laquelle j'ai tout mes cours....
Boone Pickens Stadium, le stade de football (américain s'entend) 17 000 places
Noble research center...une allure d'institution internationale
A remarquer , la Chi-o-clock (l'horloge) point de ralliement par exellenceRandom university grounds...Autre vue du Student UnionRoute qui traverse le campus, à droite le bus gratuit
qui m'emmène souvent au wall-mart

Le batiment dans lequel tout les garçons voudraient habiter (pcq réservé aux filles)
j'aurais pu avoir une chambre dans le même derrière.
Le trottoir que j'emprunte tout les jours...passionant
C'est tout...

"J'ai une question! Hier on était jeudi soir, t'as pas cours aujourd'hui et t'es pas sorti...T'es malade??!!"
Julien, ce matin...

mercredi, novembre 08, 2006

The bourlingeur's diary...

Si vous vous retrouvez dans le Middle west (et plutôt middle que west) américain et que vous êtes étudiant, vous aurez certainement pleins de projets et d'envies. Envies de soirée, de fêtes, de jeux, de divertissements et de découvertes mais certainement pas de homework, d'examens et de mémoires. Malheureusement pour le pauvre étudiant perdu dans cette savane, et cerné par un troupeau de pick up sauvage, il est difficile de s'adapter aux us (haha! subtile!) et coutumes locales. Parmi tout les dangers qui le guettent, le manque de chocolat est certainement le plus fréquent et le plus criant, il pourra certe tenter de se rabattre sur une imitation locale à bas prix, mais après en avoir manger une bouchée, il abandonnera aussitôt...
Dans ces régions reculées les citrouilles occupe une place sacrée dans le folklore, et en particulier dans Haloween. Patrick Govaer(au hasard...) nous donc emmène découvrir les véritables Haloweens du middle west. Frisson garanti...

Photo de groupe....où suis-je??
Julien (non?!...si!) et Luisa
My name is Shrek...
(gel vert dans les cheveux, maquillage vert dégeu sur le visage,...)

Ivan(Col) et Antonio(Esp) en punk j'aime assez bien
Vincent et colton(US), bouh j'en ai l'estomac tout retourné...(ou pas)
Après avoir vécu une expérience si traumatisante (le chocolat, pas Haloween), notre étudiant s'apprête à passer une nuit près d'un feu de bois, confectionné par ses soins. Si vous aussi vous vous retrouvez dans une telle situation, prennez soin de choisir de bois de houx, il présente l'avantage d'éloigner les vipères et autre reptiles indésirables qui risqueraient de vous gâcher votre nuit. Au passage, notez que la région est infestée de sorte de criquets noirs, qui émettent un bruit de noisette (comme c'est plus fin le bruit est un peu plus aigu qu'une coquille de noix) lorsque vous marcher dessus par mégarde. Néanmoins, à la première gelée toutes ces sympathiques petites bestioles se réfugieront dans le premier égout venu, vous procurant par là même une impression de civilisation retrouvée et de liberté nouvelle.
Cette civilisation si lointaine, peut au détour d'une occasion immanquable revenir à vous, Jean-François Piercaud (re-au hasard), est parti découvrir la salle de bal du Student Union, et a assisté à un bal de salsa...Surprise au tournant.
Séverinne ma partenaire officielle pour cette soirée
Ivan, Edgar, Me, Jennifer(US),Luisa, Séverine et Emily (US)
en tenue de salsa...class
Diana y Karla et moi, class...
Chris(US) un de mes profs
Mais quand je dis class...c'est class...(photo de fin de soirée y'avait bien plus de monde avant)
Après avoir parcouru des miles et des miles dans cette véritable jungle, vous serez certainement heureux de tomber nez à nez avec un oasis de fraîcheur, prennez le temps de vous y arrêter et de vous y reposer car vous n'êtes certainement pas au bout de toutes vos surprises. Nombreuses sont les épreuves que vous devrez encore affronter... Les photos de l'oasis dans notre prochaine émission.
Dernier conseil : Si l'envie vous prend d'habiter avec des autochtones et que ceux-ci présentent des signes d'aggressivité à votre égard, trouvez leur quelques vieilles consoles de jeux vidéos. Ils accrocheront sans coup faillir, et passeront le plus clair de leur temps comme hypnotisés par ce petit miracle de la technologie japonaise, soyez assuré qu'ils connaitreront tout les passages secrets et les différentes difficultés par coeur. Enfin, préférez des jeux qui leur rappeleront leurs instincts de primates, Donkey-Kong par excellence, et disposer quelques bananes à coté d'eux afin qu'ils ne déperissent pas...A la semaine prochaine(ou pas).

samedi, novembre 04, 2006

Texas hold 'em

Aujourd'hui pour vous j'ai testé le "Texas hold 'em" qui en fait est le poket local. Très sympa il repose plus sur le savoir faire du parieur que sur la chance, même si je dois avouer que j'étais un peu dégouté lorsque Quentin a sorti un carré de 5 sur ma grande suite alors que j'avais mis tout mes jetons dans la balance....Tout ça pour dire qu'à trois heure du matin il est plus que temps d'aller dormir mais d'autres billets devraient suivre d'ici peut. Celui-ci ne sert qu'à apater le poisson (Pour savoir qui est le poisson regarder sur la chaise en dessous de vous...)

Je concluerais ce très court billet par une brêve note concernant le squash. Tout d'abord depuis que je suis ici je me suis tordu trois fois la cheville.(Just try to imagine the scarry look on my mum's face when she'll just have read this...). J'ai ensuite battu consécutivement Jean-Marie (3-2), Quentin (6-0, oui pcq il avait envie de sauver l'honneur en gagnant un set mais il l'a perdu donc je suis à 6) et Gabrielle(4-1). Je cherche donc des nouveaux concurrents à ma domination très locale...

"Enjoy your moments of glory they will be gone for a long time soon.Watch out for my revenge!"
(Jean-Marie, sur le Facebook en mauvais perdant...)