jeudi, octobre 26, 2006

Let me sleep in peace!

Evidemment, c'était trop beau! Je vous l'ai dit durant la nuit de lundi à mardi je me suis fait réveillé par l'alarme incendie. Rebelotte cette nuit, mais 10 min plus tôt cette fois à 5h15 du matin. La raison? Quelqu'un a tiré une des poignées de l'alarme pour s'amurer, mais qui? Mystère...
Faudrait quand même voir à me laisser dormir en paix lorsque j'ai un exam le lendemain car ca devient une mauvaise habitude...

-"Eh Joe do you think it's a guy this time?"
-"I don't know, but if it is we'll be able to beat his ass..."
(Me and Joe both still dozed off, october 26, 5:30 am)

mercredi, octobre 25, 2006

Don't forget your shoes...

Certains signes ne trompent pas, je ne mets plus de short depuis deux semaines déjà, je me surprend à regarder mes écharpes avec un interet tout particulier, mes après-midi études au soleil sur ma terrasse se rarifient, mon climatiseur ne se met plus en route que spodariquement, le soleil se couche plus tôt et la lumière de celui-ci est devenue plus blanche. Pas de doute, nous sommes en automne et le thermomètre est descendu jusqu'à 45°F ((45-32)/9*5 = ~8°C) ce qui ne l'empêche pas de remonter parfois jusqu'à 25°C mais ce phénomène se fait de plus en plus épisodique.

D'autres signes ne trompent pas non plus, je fais moins de sport, je me suis rendu deux jours d'affilés dans un fast food et j'ai repris du poids...

Dans la rubrique des signes paranomaux, la nuit dernière, je dormais paisiblement afin de récupérer de ma journée extrêmement fatiguante, lorsque à 5h18 exactement, une sirène se met en route dans mon batiment. Cette sirène met exactement, 0.008 seconde à me réveiller. Mon premier réflexe est d'enlever mes boules "Quies" afin de m'assurer que je ne rêve pas avant de les remettre pour tenter d'atténuer le bruit. Mon deuxième réflexe est de sortir dans mon couloir afin de poser la question "Qu'est ce qu'on fait?" à mes camarades du "green side". Cette question peut sembler bizarre à priori mais si pour vous il est évident qu'il s'agit d'une alarme incendie, ça l'était beaucoup moins pour moi car il pouvait tout aussi bien s'agir d'une alerte à la tornade (Quoiqu'en y réfléchissant une tornade c'est de l'air chaud, il faut donc du soleil et à 5h20 du matin y'en a pas beaucoup du soleil). Ensuite au lieu de suivre précieusement les directives classiques, je me dis "Ok faut sortir mais ca va cailler dehors...". L'idée de génie! J'enfile un pull et un pantalon au dessus de mon pijama, avant de sortir. Nous descendons les escaliers et arrivons donc dehors. Au passage, la cage d'escalier offrait une odeur de caoutchouc brulé qui attestait de la necessité de sortir du batiment, néanmoins pas de fumée, je savais donc que je ne tarderais pas à revenir faire un tête à tête des plus romantiques avec mon oreiller.
Il ne me faut pas faire dix mètres dehors pour m'apercevoir que j'avais oublier deux autres réflexes des plus élémentaires : mes chaussures et mon appareil photo. Le premier parce que le sol était certainement plus froid que l'air environant, le deuxième parce que je n'ai pas eu l'occasion de prendre une vidéo des beaux camions de pompiers arrivant sirènes hurlantes. Enfin, bref, tout cela pour une bougie qu'une ...(En 5 lettres, définissant une femme pas intelligente, mais alors là pas du tout) avait laissé allumer dans sa chambre et qui avait mis le feu aux rideaux, n'allant pas plus loin heureusement.
Deuxièmement,ce que je n'appris qu'une demi-heure plus tard, c'est que les flics étaient à mon étage entre 1h et 4h du matin car quelqu'un leur avait téléphoné pour dénoncer un de mes floormates qui possédait de la Marijuana. Mon floormate c'est donc fait arrêter mais je l'ai croisé hier ça avait l'air d'aller. Le calme avant la tempête car il se fera probablement viré de l'unif vu qu'il était déjà en probation pour avoir bu de l'alcool alors qu'il était underage (moins de 21 ans). Dans quel pays je vis moi??

Autre signe, mon voyage à New-York ne se prépare pas, l'auberge de jeunesse est maintenant remplie pour le nouvel an, forcément quand on traine, on n'avance pas! C'est le sujet du moment qui fâche...

Coté signe festifs, lundi prochain c'est Haloween, de nombreuses fêtes en perspectives. Pour vous donner une idée vous pouvez regarder les dates qui s'affichent sur les "events" de mon badge facebook.

Enfin, le dernier signe c'est la masse de travail qui m'attend sur mon bureau en terme de devoirs, d'examens ou de mémoire, c'est aussi ces lettres de motivations que je dois écrire afin de peut-être repartir aux states l'année prochaine, pour un an cette fois (et ce doit être fait pour le 31 octobre!!!!), ce sont aussi ces trois personnes que je dois trouver afin de me faire des lettres de recommandations toujours pour repartir, enfin c'est aussi ce programme d'étude que je dois écrire et renvoyer en Belgique car mon secrétariat s'impatiente,

La conséquence de tout ces signes c'est que vous ne verrez pas grand de neuf sur ce blog avant un bon bout de temps...


-"Is it a guy or a girl?"
-"it's a girl..."
-"Oh shit!"
-"Why? Does it matter if it's a girl or not?"
-"Of course it matters! If it was a guy I would have go and kick his fucking ass!!!"
(Joe and Vanessa both still drowsy, tuesday 24 oct, 5:52 am)

dimanche, octobre 22, 2006

The sunday post

Ca c'est fait...Maintenant penser à aller me faire couper les cheveux.

dimanche, octobre 15, 2006

Red necks...

Un choc, il n'y a pas d'autres mots pour décrire ce qu'on peut ressentir lorsqu'on prend conscience que dans un an, si tout se passe normalement, on sera dans la vie active qu'on aura quitté le vrai monde étudiant. Certes des études complémentaires sont envisageables, mais on aura déjà un diplôme et d'une manière ou d'une autre on aura quitté ce monde d'insouciance et de fête perpétuelle (encore que...). Tout le monde doit passer par là un jour ou l'autre, certains plus tard que d'autres car ils décident de cumuler quatres études qu'ils poursuivent par deux doctorats et trois post-doctorats et s'ils le pouvaient feraient des post-post-doctorat. Qu'on ne me prête pas des propos que je n'ai pas tenu, je ne dis pas qu'on ne travaille pas lorsqu'on fait un doctorat, mais d'une certaine manière on reste étudiant comme on atteste d'ailleurs la carte d'étudiant que tout les doctorants conservent (je ne me trompe pas??). Et puis...non je ne m'aventure pas sur ce terrain (vous auriez bien voulu pourtant, avouez!).

Dans l'esprit terrain, j'ai enfin rempli un de mes objectifs de mon échange : j'ai rencontré des red necks. Mettons les choses tout de suite au point, je ne l'ai pas mal écrit et il ne s'agit donc pas du groupe de musique Rednex même si un doute m'envahit maintenant sur la possibilité d'un lien entre ce groupe de "Country" frelaté et ces fameux red necks. Mais qu'ils sont-ils ces red necks? J'y viens, point d'impatience.
Pistol Pete la mascotte d' OSU, il portait
six
pistolets à la ceinture d'où son nom
Comme vous le savez tous, je me trouve en oklahoma (Si vous ne le saviez alors peut-être que c'est vous qui avez rédigé cette lettre, si c'est le cas prévenez moi) et l'oklahoma c'est un état riche en pétrole et en bovin(enfin riche facon de parler). Les gens qui travaillent dans le pétrole sont bourrés aux as et je les voie pas(par exemple Boone Pickens, un homme du pétrole, a offert un stade de football américain à mon université pour la modique somme de 30,000$ euh non 200 millions de dollars soit beaucoup de $$$$$$$$) , reste donc les fermiers, qui portent le peu envié surnom de "red necks"(nuque rouge).
Les red necks sont des américains, des vrais, des purs et durs, ils se caractérisent par un accent incompréhensible et par un look vestimentaire bien à eux. Commencons par en dessous, ils portent des bottes en cuir, brune de préférence, rehaussées par des motifs d'une autre couleur mais en cuir eux aussi, ils portent des jeans obligatoirement bleu et très classique, bien loin de la mode des grandes villes où les délavés et les faux trous font ravage, ce jeans s'accompagne d'une ceinture ornée de pièces métalliques, elle se ferme au moyen d'une boucle ronde de 10 cm de diamètre avec une tête de taureau en effigie. Si l'on remonte encore un peu on arrive à la chemise de marque "American eagle" à carreau de préférence, les plus cools optent plutot pour la chemise lignée (par forcément laide je dois bien l'avouer). A ne pas négliger, la chemise doit être rentrée dans le pantalon. Enfin, le couvre chef existe en deux versions, les jeunes optant pour une casquette portant un quelconque slogan patriotique ou une marque d'une firme agricole le must restant le logo "John Deere" jaune sur la casquette noire, les personnes plus mûres préférant le traditionel chapeau cow-boy que tout le monde connait.
Attention ne vous méprenez pas, ce look est le modèle de base, certaines options sont disponibles tel le gilet en cuir au dessus de la chemise, ou encore, la mise en place de chaussures en cuir qui remplace les bottes. Cette description vous permettra donc de reconnaitre, sans coup faillir, un véritable red neck lorsque vous en croiserez un, malheureusement vous n'êtes pas près d'en croiser un dans la rue car le red neck ne circule qu'en pick-up duquel s'échappe une musique country à la Allan Jackson (si si j'ai vérifié) ainsi que des gaz d'échappement contenant encore 90% d'essence non brulée (ah oui car j'ai oublié de dire que le red neck prend soin lui même de son pick up). Coté politique le monde red neck est très uniforme, on vote conservateur et de préférence on vote pour quelqu'un issu de sont état ou du sud en général, si le candidat possède un ranch, c'est l'homme idéal car il connait les préoccupations du red neck. Celles-ci sont assez limitées car le red neck à une vision du monde très centrée sur son ranch/ferme, et ne s'intéresse guère au problème des pays voisins et souhaiterait ardemment que ces mêmes voisins restent chez eux, le red neck est très patriote, pas forcément envers son pays, mais plus envers son état l'Oklahoma pour les gens d'ici.
Pour finir, le red neck est quelqu'un de très poli et très ouvert à la discussion, notamment avec des gens comme moi. Il vous avouera volontiers qu'il a voté pour Bush mais qu'il ne l'aime pas malgré tout et ce même si ce n'est pas vrai. De même il vous dira qu'il vous aime bien même si il ne supporte pas les européens, et les français en particulier. Il n'hésitera pas à vous venir en aide si vous avez un problème et ne vous quittera qu'après vous avoir confier entre de bonnes mains. Il s'implique dans des organisations caritatives de toute sorte que ce soit sur le territoire national ou à l'étranger (enfin j'en ai rencontré un qui était parti deux ans en amérique du sud pour une organisation humanitaire, je crois que la plupart ne sont pas aller plus loin que le Texas et/ou l'arkansas (prononcé [a r k a n s a])). A peine êtes-vous arrivé, il s'empressera de vous offrir à boire et de vous mettre à l'aise.
Enfin, le red neck se marrie aux alentours de 22 ou 23 ans (glup!), je les ai d'aileurs rencontrés à un enterrement de vie de garçon, c'est peut être ça qui m'a le plus impressioné...
Ne croyez pas que je déteste les red necks, certains étaient vraiment très sympathiques, d'autres par contre étaient à l'image du président qu'ils ont élu, totalement déconnectés du réseau.
Petit hommage au cable par lequel transitent
toutes les photos de ce blog
Pour terminer ce billet quelques photos qui n'illustreront pas les red necks car je n'ai pas eu la bonne idée de prendre des photos.
Par contre quelques photos d'une petite soirée organisée entre amis pour combler le manque de fêtes du moment...

Sans commentaire

Le stade de basketball d'osu

-"Non fix tu sais bien que j'aime pas les photos..."
"ben je sais c'est pour ça que je la publie.
Si ca tombe personne te reconnaitra!"

Juste un nouveau visage, deuxième en partant de la droite :
Marie,
française de 18 ans en échange avec le
rotary et qui refait sa rétho ici

"A small vocabulary doesn't mean a small mind"

mercredi, octobre 11, 2006

what a queer day...

Lorsqu'on vit depuis un certain temps au même endroit on attrape des habitudes, des manies. Une des miennes est de ne rien prévoir pour le lendemain, que ce soit aussi bien pour la nourriture que pour la plupart de mes activités. J'aime cette idée de surprise qui fait que chaque jour passé ici est différent des précédents et me réserve son lot de suprises aussi futiles soit-elle. Evidemment, cette organisation, appelons ça comme ça, implique certains désavantages que ce soit devoir courir au wal mart en dernière minute ou encore passer une dizaine de minute au téléphone pour savoir où on doit aller. Néanmoins je ne crois pas que je changerais cette habitude durant tout mon séjour ici, car au final j'aime vraiment bien, ça me rappelle que mes contraintes de vie sont très légères et ne dépendent que de moi, et de mon compte en banque...
Malgré tout je ne supporte pas de vivre sans filet, aussi j'ai toujours un joker dans ma main et un as de coeur dans la manche, ça m'évite certaines mauvaises expériences. Tout ça reste très abstrait et c'est très bien comme ça.
On frappe à ma porte...Etrange ces américains. Ils essayent de vous vendre le t-shirt du batiment mais en même temps il n'y a pas d'ambiance propre au batiment :
-"mais il va y en avoir une tu verras! Tout le monde aura le t-shirt pour le "homecoming" du batiment."
-"Je verrais à ce moment là alors...."
-"Oui mais je dois les commander avant, steplait j'en ai vendu que trois et je dois en avoir 100! C'est seulement 10$"
-(dans ma tête)"y'a un esprit de batiment, tout le monde en aura un et elle en a vendu que trois, bizarre quand même..."
(à voix haute)"désolé mais non..."
-"t'es sur?"
-"oui"
Cette histoire tombe juste bien pour introduire l'esprit de groupe qui règne dans cette université ainsi que dans toutes les universités américaines. Les vêtements portant le logo de l'université sont plus qu'abondant, de la simple casquette au caleçon américain( enfin probablement j'ai pas regardé jusque là). Pour ma part je n'ai toujours pas céder à l'envie de m'offrir certains de ces souvenirs mais ça ne saurait tarder juste trouver le bon au bon endroit. Je me pose une question quand même, sweat orange écriture noire ou sweat noir écriture orange? ou les deux...

Reste à parler de la Nouvelle-Orleans. Ville super chouette, j'aime l'ambiance qui règne dans le Vieux Carré, beaucoup d'artiste s'y retrouvent. De la musique, des couleurs, des mauvaises odeurs, des fêtes ( que je n'ai pas testées pour une fois), une ambiance particulière tout ce qu'il faut pour que le souvenir que j'en garde me pousse à revenir dans quelques années si j'en ai l'occasion. J'ai surtout quelques bonnes vidéos de jazz prises au vol dans la rue, mais je n'ai pas pris le temps de les transférer sur internet pas de musique donc.
Par contre quelques photos :


Maison au crépuscule dans le vieux quartier
(époque espagnole si je me souviens bien)


vue depuis les quais sur le pont reliant les deux rives du missipi
(j'aime beaucoup cette photo même si elle est pas très représentative)

Une rue typique du Vieux Carré

Un batiment exigé par une espagnole

Oeuvres d'un artiste de rue en rue

Avant ici y'avait un coup de gueule contre google, j'avais donc créer un lien avec le nouveau moteur de recherche "exalead". Du coup des gens de cette société sont venus voir mon blog...poilant quand même.

"Nobody's perfect..."

vendredi, octobre 06, 2006

Fall break...

Ca y est m'y voici, mes premières vacances officielles aux Etats-Unis. Tout ceux qui avaient prévu de partir sont déjà parti. Je suis le dernier et quelques uns resteront sur Stillwater pour ces quatres jours de vacances. Comme j'avais un jour de libre sans personne pour m'inciter à quitter mon immeuble, je me suis mis à travailler. Il faut dire que je pouvais bien m'y mettre puisque je n'avais rien fait cette semaine, au sens littéral du terme. Le temps étant très agréable en ce début d'automne je me suis donc installé au soleil sur la terrace et j'ai lu. Entre deux pauses, j'ai pris quelques photos :


Mon pied gauche au repos sur la chaise d'en face,
en reflet sur la vitre le ciel bleu d'oklahoma,
température cette aprem : 26°C
(limite la température pour ici d'où le pantalon)
Mais comme blogger veut pas de mes photos je ne peux pas en mettre plus, pourtant elles étaient toutes aussi inintéressantes les unes que les autres.

Toujours dans le sujet inintéressant, j'ai assisté, pour la première fois ici, à la tonde des pelouses en bas de ma terrace. En soit, ça n'a rien de passionant, ce qui l'est plus c'est qu'ils ne font pas que tondre. Dès que la tondeuse est passée, un autre monsieur arrive et fait les bords de la pelouse avec une sorte de scie circulaire sur roue, après arrive un autre monsieur avec un souffleur et repousse l'herbe coupée qui restait sur le trottoir, après encore un autre monsieur arrive et répand du vernis sur la pelouse pour qu'elle brille plus au soleil (on a pas le droit de marcher sur ces pelouses, si on le fait on se prend des belles amendes), après la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu... Et là vous savez plus à partir de quel moment je me fous de votre gueule et bien je vais vous laisser chercher et peut être que je vous dirais la solution un autre jour si vous m'y faites penser car moi je vais oublier, c'est sûr.

La Nouvelle Orléans m'attend, j'en suis tout impatient...

mercredi, octobre 04, 2006

Orange peel..

Mes premières vacances (officielles je tiens à le préciser): les vacances d'automne. Au programme, week-end à la Nouvelles Orléans avec ma soeur Marie, mon beau frère Stéphane et leurs deux petits bouts. Que du bonheur...

L'oklahoma, tout le monde le sait, c'est un état perdu au milieu de nulle part dont personne ne voulait avant que l'on y découvre du pétrole. C'est donc logiquement ici qu'une grand partie des tribus indiennes ont été "parquées" par l'homme blanc. De cette époque il ne reste plus rien. Seuls subsistent quelques vestiges d'une époque peu glorieuse et pas très intéressante. Il est encore possible d'assister à un "Pow-wow" mais évidemment celui-ci est devenu un évènemment moderne organisé à la mode américaine, je ne m'y suis donc pas rendu et les photos que j'ai vues me donnent raison. En revanche, et contrairement aux apriori que l'on peut avoir depuis la Belgique, les activités de toute sorte ne manquent pas. Pour exemple, laissez moi vous parler de l'

Orange Peel
Un évènement immense, gigantesque, gargantuesque et tout les synonimes que vous trouverez au fond de votre cerveau tordu. Enfin, bon quand je dis immense c'est à la dimension de Stillwater. L'orange peel est un show où se sont déjà produit lors d'édition précédentes des noms comme Vanessa Carlton( enfin des, c'est le seul que je connaissais) . Cette année, nous avons eu droit à "The hero factor" un groupe de rock fortement influencé par "Coldplay", Bill Engevall le comique du coin qui a fait pleurer de rire tout les gens présents sauf quelques uns dont moi qui ne comprenait pas trop ce que le pitre sur la scène essayait de me faire comprendre, mais d'après les glougloussement du parterre ce devait être très drôle et enfin, en tête d'affiche Alan Jackson la star de la musique country. Vous n'avez jamais entendu parler de lui, alors lisez ça. Alan Jackson c'est 40 millions d'albums vendus, une multitude de concerts et plus de 100 prix musicaux importants! (par la même occasion des samples de chansons peuvent être écoutés sur son site, conseillée "like red on a rose" avait un grand succès surtout auprès des filles, allez savoir pourquoi...) . Nous étions 17.000 personnes à assister au concert donné dans le stade de football de l'université. Evidemment lorsque Monsieur Allan Jackson est entré sur scène, toute la foule s'est levée et a scandé son nom, moi tranquillement assis je me demandais ce qu'ils lui trouvaient à ce gars...Quelle entrée!

Verdict : bonne soirée mais la country c'est pas trop mon truc sauf si on considère "Cotton eye joe " comme étant de la country mais j'en doute...




"Me and math, we're not so attach to each other, we understand each other and respect each other, but we keep it like that..."-Diana lors d'une conversation msn, je tiens à préciser qu'elle fait des études d'ingénieur industriel.

dimanche, octobre 01, 2006

I'm so desperate...

Le temps passe, passe, passe et beacoup de choses ont changé qui aurait pu s'imaginer... que je prendrais pas soin de mon blog. Let's rewind, au tout début de l'histoire, l'histoire d'un envol et lorsque j'atteris, je fus acceuilli par deux américains à fort accent indien pas facile à comprendre, en même temps premier contact avec un petit francillon (pas si si petit que ça mais quand même) qui répond au nom de Julien. Pourquoi vous parler de lui? Tout simplement parce qu'il a eu la bonne idée de faire des études d'hôtellerie avant de se lancer dans des études de management, et que dans un pays comme celui-ci un savoir-faire pareil ça vaut de l'or. Au menu : émincé de courgette au parmesan, tomates-huile d'olive-citron, home-made guacamol, sorte de coquille Saint-Jacques à la crème sur leur bout de charcuterie italienne, champigon sauté à la crème et en dessert ananas au caramel maison servi tiède sur sa boule de glace vanille. Que du bonheur...
C'était tellement bon que sa mérite une photo de l'artiste :


Ne vous y fiez pas, il n'aime pas les photos...
A tel point que le bic qu'il tient dans sa main n'est pas passé loin de moi
En invisible les mexicaines qui se prennent un délire dans les toilettes...
(C'est dangereux la vie de blogueur quand même)

Ca c'était pour les plaisirs culinaires.
Pour le plaisir des yeux maintenant, j'ai testé pour vous : "Desperate Housewives". Evidemment tout le monde connait, au moins de nom, cette série américaine qui fait un tabac de mon coté de l'atlantique (qui pour les plus distraits d'entre vous, n'est pas le même que le vôtre, sauf si vous habitez du même coté que moi, fin bref je m'égare...). Dimanche dernier donc, nous nous sommes retrouvés à dix dans l'appartement de Luisa, la Colombienne du groupe, pour visionner le premier "Desperate Housewives" de ma vie. Mon verdict est le suivant, série sympa mais les pubs de 5 minutes toutes les 5 minutes ont le don de m'énerver même si elle présente l'avantage de vous laisser le temps de déguster la pizza américaine fraichement commandée. Un nouveau rendez-vous fut donc pris ce dimanche-ci chez Julien (décidément j'aurais beaucoup parler de lui aujoud'hui) pour le deuxième épisode, impatience quand tu nous tiens. Ce fut très sympa évidemment on n'a pas fait que regarder le feuilleton, extraits visuels :

Séverine et Luisa captivée par je sais plus qui...

Alexis n'en ratant jamais une décide de poser entre moi et ma prochaine photo,
le regard sensuel est habituel je pourrais vous montrer 10 000 photos
de lui tout plus drôle les unes que les autres

Le même qu'au début, remarquez qu'il n'a pas osé me lancer
son pc pour avoir pris la photo...nice


Luisa et sa pommade qui sent bon, Séverine et Vincent

J'aurais bien voulu vous montrer les films qui montrent
comment "Cobaye 2" s'est retrouvé dans cet état.
J'ai évidemment un autre film pour "Cobaye 1" (alias Vincent)

Alexis, Séverine et "Cobaye 1" après qu'il se soit lavé le visage
Je tacherais de vous parler d'autres de mes aventures dès demain.

"Qui va piano va sano, e qui va sano va lontano" - Un italien probablement